IL ÉTAIT UNE FOIS...

13 ANS ET LE DÉBUT D’UNE AIRE.
Le Base Ball était une passion pour un jeune garçon nommé Jules O’Linthing. Il était le meilleur de tous. Le seul et l’unique. Il était toujours temps de montrer qu’il était le meilleur et il était toujours le numéro 1. Or, il n’avait jamais mis les pieds dans un stade olympique avant. Les gens étaient du haut en bas complet. Il n’y avait aucuns bancs libres. Où étaient ses parents ? Surement que sa mère à son magasin de mode Mlle O’Linthing et son père était surement à son studio de tournage O’Linthing studio’s. Oui, le petit bonhomme était seul au monde. À l’époque il était très petit. Par un petite claque dans le dos de son entraineur, ses paroles résonnaient dans sa tête : « ALORS O’LINGTHING, PRÊT POUR LE LANCER ? » Le petit se releva la tête et vu son entraineur gigantesque à ses côtés. Il se sentait tellement minuscule ! Après un petit soupire, il regarde son entraineur qui se met à sa hauteur : « Qu’est-ce qui ne va pas mon bonhomme, tu es malade ? » Non… Il n’était pas malade. Il ne fit qu’un mouvement de la tête pour dire un nom, mais il tombe à la renverse. Il n’était pas le seul à être malheureux dans l’équipe. Il jette un coup d’œil à ses camarades et tout le monde voit ses parents dans la foule sauf lui. L’absence de ses parents lui manquait déjà. L’entraineur le regarde encore une fois et ce dernier lui dit encore une fois : « Ne t’inquiète pas petit, je serais toujours là pour toi, moi ! » Le petit bonhomme se remis à sourire de mille feux et court se mettre sur sa position. Son numéro était celui de cinquante-six. Il en était fier d’ailleurs. Ce fut notre cher jeune garçon qui marque l’histoire avec un simple coup de bâton, il l’envoie dans la foule. À ce moment, il vu un homme plutôt musclé avec un grand sourire relancer la balle dans le terrain…

14 ans, vis ta vie et laisse-moi vivre la mienne.
Jules revenu enfin à la maison pour 18h30 encore une fois voit ses parents se chicaner pour une simple télécommande de télévision. Il soupire avant d’entrer vite poser son sac de baseball, mais il reprend sa balle aussitôt avant de sortir. Jules essaye de s’évacuer le plus vite possible sans que sa mère remarque que c’était lui. Et puis… « Jules … ? C’est ton mon ange … ? » Elle se lève de son fauteuil pour vite aller voir si c’était bien lui. Jules désespéré dépose sa balle l’air tout malcontent de revoir sa mère qui n’était pas venu le voir jouer comme l’an dernier. « Jules, excuse-moi de ne pas être venu te voir jouer, j’avais des rendez-vous important. Tu comprends, maman est débordée ses jours-ci, mais je viendrais le prochain match. C’est quand … ? » Elle n’avait pas compris que c’était le dernier de cette saison. Il soupire et puis il lui dit : « Il n’y aura pas de prochain match maman… La saison est terminée je ne recommence que l’année prochaine et en plus ont a perdus… » La jeune femme eux un moment horrifiés. C’était tout de sa faute. Elle le prit contre-elle, mais le bonhomme s’enlève aussitôt et ne voulu rien s’avoir d’elle. Elle ne comprenait pas pourquoi, elle lui dit d’un ton sourd et aigu : « Jules … ? Mon chéri revient ici … S’il te plait ! » Jules lui jette un dernier coup d’œil et sort dehors en silence …

15 ans c’est déjà long comme ça.
« HEY O’LINTHING TU T’ES VU ? TU ES SI PETIT QUE TU NE PEUX RIEN FAIRE DANS LE BASE BALL ! TU N’IRAS PAS LOIN ! AHAH. » Jules se retourne pour voir un jeune qui était avant dans son équipe. Il n’était pas le numéro un, mais il a été prit parce qu’il était grand et assez fort pour arrêter les balles. Ce n’était pas si pire, non ? Jules voulu lui sauter dessus au moment où l’entraineur le retenu. Que fessait-il ici ? « Ne fais pas ça Jules. Il est plus costaud que toi et si tu t’y prends à lui, tu pourrais le coûter cher. Il n’est que jaloux de toi s’il ne dit que des choses comme ça ! » Jules jette un coup d’œil à son entraineur. Il avait peut-être raison. Rien ne valait de se jeter sur lui ! Il soupire et regarde son entraineur avant de partir pour ses cours. Il était très gentil ce dernier et il ne voudrait pas changer d’équipe pour si tôt !

16 ans premiers tour d’acné.
Jules assis devant la télévision avale des gaufres tartinées de Nutella. Sa mère n’était pas à la maison et son père non plus. Ils étaient tous les deux au travail et il continue de zapper la télévision. Ce n’était pas la première fois que Jules était seul chez lui. Pour continuer sa superbe journée sans parent qui était toujours pareille les samedis matins… Il décide d’aller prendre une bonne douche. Lorsqu’il mit son assiette dans le lave-vaisselle, il entend sa mère entrer dans la maison pour le dîner. Elle lui sourit avant de lui donner un baiser sur la nuque. Il monte vite à l’étage parce qu’il s’avait très bien que sa mère allait l’amener avec elle au travail ! Jules se regarde dans le miroir et crie à sa mère : « MAMAAAAAAN ! J’AI DE L’ACNÉ DANS LE VISAGE ! M**DE ! » Sa mère est venu le plus vite possible à l’étage pour lui mettre de la crème verte. Il soupire et dit à sa mère encore une fois : « Maman, tu crois vraiment qu’une fille va s’intéresser à moi quand j’ai des broches et qu’en plus de l’acné ? Je ne suis pas certain. J’ai l’air d’un zombi… » Sa mère soupire à son tour : « Arrête de t’en faire pour tout mon ange, elles vont t’aimer les filles. Comme toujours. Elle t’aime comme tu es ! » Jules lève les yeux et croisent les bras en fessant la moue. Il n’était pas content. « Arrête de bouger, tu vas en avoir partout mon petit clown ! » Elle se mise à rire quand elle étale sans faire exprès la crème sur les lèvres de son fils. Il enlève la crème de sur ses lèvres et se mis à rire avec elle. Par la suite, il se lève et après une heure, au magasin de sa mère, Jules devait enlever la crème. MAGIE ! Il n’avait plus aucuns boutons !

17 ans ont enlèvent les broches enfin !
« Voilà mon garçon, tu n’as plus de broche. Comment te sens-tu ? » Satisfait, Jules se regarde dans un miroir. « Je me sens maintenant plus beau qu’avant ! » Sa mère sourit et encore une fois, son père n’était pas là… C’était encore une fois dommage. Son père travaillait toujours. « Comment je vous dois ? » Le dentiste sourit et lui dit : « Vous me devez que 15$ quand il est satisfait, ça ne coûte pas beaucoup de dollars vous s’avez ! » Elle sourit et regarde son fils.

18 ans et compagnie !
Non, il ne rigolait pas. Sa mère lui portait de plus en plus d’attention depuis qu’il grandissait. Son père ne travaillait jamais à la maison. Sa mère et lui se voyait souvent, mais pas Jules. Encore une fois au match il regarde sa petite copine et ce dernier comprend que cette dernière est malheureuse qu’elle ne le revoie pas tout de suite. Parce ce dernier ne sera plus près d’elle, il déménage et elle continue son rêve de meneuse de claques tandis que lui ne sait plus où il en est : « Tu m’écriras j’espère petite coquine. » Elle lui sourit amusée et elle lui dit : « Pourquoi je t’oublierais ? » Jules se retourne vers le garçon donc elle n’arrête pas de fixé et il dit : « Promet-moi que tu me resteras fidèle et qu’ont va se revoir l’an prochain … » Cette dernière se mordilla les lèvres inférieur et il l’avait remarqué. « Tu hésites… » Elle leva le tond de voie : « Ce n’est pas vrai ! » Il se leva et lui dit : « Je sais quand tu hésites et tu hésites ! » Elle soupira et détourna la tête en se levant : « Alors je prends une pause ! » Jules leva encore le tond : « Ce n’est jamais la fille qui prends les pauses. Alors JE prends une pause ! » Elle lui jette un regard maléfique et s’en va aussitôt. Il soupira à son tour et gagne la partie. Cette dernière revient le voir et l’embrassa sur le coup et lui dit : « Je ne veux plus de pause… » Jules sourit et lui dit : « JE ne veux plus de pause. » Et tous les deux se mit à se rire.

19 ans et une lettre d’Adieu…
C’était le matin comme tous les petits matins, Jules partait à la chambre de bain pour prendre une bonne douche et mettre du gel dans ses cheveux pour être un beau bonhomme que toutes les filles apprécient. Mais ce matin, sa mère lui donne une lettre. Jules n’avait que ses jeans et ne portait pas de chandail. Il prend la lettre et se mis à la lire. Ce venait de Jessica.

« Cher Jules,

Tu as toujours été un amant pour moi, mais il est venu le jour pour moi de te dire adieu. À l’été je n’ai pas pu venir et je t’ai fait attendre très longtemps à la gare. C’était de ma faute et je m’en excuse. Je voulais simplement te dire que je t’aimais, mais aujourd’hui notre flamme s’est éteinte. Je n’ai plus de sentiment pour toi et j’en suis désolée. J’espère que tu comprendras parce que je t’aimais, oui comme toi tu m’aimais. Mais les temps change et surtout, je crois avoir trouvé le bon… Je me suis fiancé avec Jack. « Oh non ! Pas Jack ! » Je l’aime et il m’aime. Je t’aime aussi et surtout fait attention à toi. J’espère te revoir un jour !

Jessica. Xxx »

Un homme ne pleure jamais s’avait-il répété, mais sans espoir il se mit à pleurer. Ce n’était pas des larmes de joie. C’était des larmes d’amour. Il avait porté de l’amour si longtemps pour elle. Elle l’avait trahit. Jules avait vu sa mère entrer et le prendre dans ses bras. C’était son premier amour et il ne l’oublie jamais. Dans son lit, il regarde une faute de lui et Jessica. Comme ils étaient joyeux ensemble. Jules se promet une chose. De ne jamais refaire confiance en l’amour.

20 ans et le quartier des célibataires…
Jules est devenu un jeune célibataire. Il est maintenant de plus en plus craintif envers l'amour. Il a finalement décidé de faire le choix de continuer ses études à l'université de New York donc il veut devenir comédien. Il a arrêter le base ball à cause de son mauvais souvenir et surtout, il continue de voir sa mère. Son père veut bien futurement l'embaucher dans son studio de tournage quand il aura finalement terminé ses études. Jules est heureux, mais est tout de même malheureux à l'interieur de lui !